jeudi 2 octobre 2008
par Bernard Thomann
Comment, à l’âge de la mondialisation, écrire une histoire ouverte sur le monde, sur ses échanges, ses circulations et ses rencontres ? Un récent numéro de la Revue d’histoire moderne et contemporaine propose un tour d’horizon des questions soulevées par « l’histoire globale » et souligne, une nouvelle fois, le provincialisme de l’Université française.
Recensés :